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 (Aiko Hishima - Terminée - Manque Images )

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Aiko K. Hishima

Jumanji
Aiko K. Hishima

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MessageSujet: (Aiko Hishima - Terminée - Manque Images )   (Aiko Hishima - Terminée - Manque Images ) EmptyJeu 24 Nov - 8:16

Aiko Kagura Hishima
ft. Neko de "K Project"

35 ans ♣ Féminin ♣ 1m52
52 kilos ♣ Hétérosexuelle
Momomajin

Tout d'abord, il y a toutes ses cicatrices, ses scarifications minuscules mais visibles à un œil habitué qui abîme sa peau de crème et en dise long sur ses activités. Les brûlures fines sur ses bras ; la coupure légère sous son oreille, la longue ligne qui remonte comme un trait d'eye-liner depuis le dessous de son oeil droit, puis surtout cette longue estafilade qui abime son aine et son ventre, épaisse et encore un peu rose là où les autres ne sont plus que quelques pâles souvenirs lointain. Aiko, elle a un corps abîmé par la guerre, le corps d'une femme qui a connu les batailles et la torture, les coups et les dagues. Ce n'est pas un corps parfait, ce n'est pas le magnifique corps d'une adolescente de quinze ans, sans imperfections et sans traces, encore béni par l'innocence de la toute jeunesse. Oh bien sûr, elle ne fait pas non plus vielle. Elle n'a que 35 ans, ce qui est peu dans le monde d'aujourd'hui, mais bien assez quand on est un guerrier !

Les poignets d'Aiko sont menues et fragiles, accompagnés de doigts courts, mais très fins, petits et similaires à des brindilles. Quand on les regarde, on les entends sans peine se faire briser et craquer. Puis on retrouve une de ses marques et on se souvient, que non, ils sont solides, terriblement robustes même ! Au début, Aiko pleurait ses marques de souffrances, ses traces de la guerre qui gâchaient sa belle silhouette. Maintenant, toutefois, elle ne les cache pas et les aborde avec une grande fierté, comme un tas de trophées, ils représentent ce qu'elle a fait, ce qu'elle était, qui elle est. Ils sont sa vie et sa vie est leur. Cette assurance a ramené à elle les regards, les désirs. Le dégout n'atteint plus depuis longtemps ceux qui observent ses lignes, au contraire, à la sensualité, à l'envie et à l'excitation se mêle une forme de respect, celui qu'on a pour les êtres forts.

Mise à part, Aiko elle est petite, vraiment petite, il est de notoriété que l'espionne est une vraie naine. Quand on sait qu'Aiko ne fait qu'un pauvre mètre cinquante, il est facile d'imaginer comment était sa vie à l'école et dans la famille Hishima où tout le monde est grand et élancé. C'est ça, au début, on était plutôt moqueur de son physique, plate et ridiculement basse, on l'imaginait mal devenir une ravageuse séductrice et pourtant....Aujourd'hui plus d'un Hishima se lèche les babines sur ses jambes et sur ses formes, un acte qui ne cesse d’enrager son mari au grand plaisir de la demoiselle. Ce corps d'enfant est devenu tonique, musclé et curvé, d'une souplesse suggestive qui alimente avec brio les fantasmes !

Ensuite, il y a ses cheveux, un voile de satin légèrement teinté dans un mélange de blanc et de mauve. Cette chevelure soyeuse et parfumée, dont la couleur est aussi froide et pure que l’hiver, lui apporte une certaine forme de mystère et de légèreté. Ils couvrent sa nuque et retombent dans son dos, ondulant alors le long de sa colonne vertébrale pour venir flatter de leurs pointes l'arrière de ses cuisses. Puis enfin, il y a son regard. Là, encore, on y retrouve une particularité bien à elle. Ses iris ne sont pas unis, ce qui ne fait qu'en ajouter à la curiosité que lui porte ses semblables. L'un s'apparente au bleu du ciel, à la pierre d'azur, tandis que l'autre, -émeraude- prend l'aspect sauvage d'un félin et varie du vert au jaune selon la lumière. Cette étrangeté fait partie de son charme, une lueur de douceur et de solitude. Mais, ici aussi, un secret se cache, car Aiko dans sa jeunesse n'avait que le jaune pour compter amour à son amant. Son oeil bleu est bel et bien celui de son amant Masaru et lui a été magiquement greffé.


Je suis :

Sensuelle :  Vous vous êtes déjà demandé si la chaleur que vous éprouviez autour du ventre à sa vue est normale ? Rassurez-vous, vous n'êtes pas les seuls. Se faire désirer est le métier d'Aiko. Même le plus frigide des êtres ne pourra jamais se retenir de suivre du regard sa chute de rein, de désirer sa bouche rouge ou de ne pas imaginer ne serait-ce qu'une seconde le goût de sa peau pâle. Aiko est une succube, on ne peut ne pas aimer son visage, mais on ne peut pas ne pas être attirée par elle. C'est une question de phéromones et de sensations, comme un déclic qui fait que peu importe à quel point on aimerait la haïr, on sent nos tripes se tordre et nos instincts criés à sa vue. Son odeur est un parfum empoisonné, sa voix le meilleur des aphrodisiaques et son regard celui de votre incontournable perte. A ce qu'il paraît, elle a été élue plusieurs fois démone la plus sexy de sa génération. Des rumeurs racontent même que le Roi en personne lui aurait bien demandé d'être sa concubine si elle n'avait pas été fiancée ! Toutefois, avec tous les bruits qu'Aiko fait courir sur son compte, on est facilement berné.

Menteuse : Aiko est une excellente comédienne. Aussi, il serait mieux de ne pas forcément vous fier à ce que qu'elle raconte. Il serait dommage de vous laisser berner par son minois d’ange et ce q'elle chantonne à tout va, encore moins ce que les sons tendres et langoureux de sa voix rauque attisent avec brio. Cela dit, on ne vous en voudra jamais de céder comme on ne vous en voudra jamais d'y croire, car avec Aiko démêler le vrai du faux est bien impossible à ceux qui n'ont aucun don. Elle se sert d'ailleurs de ce petit talent pour cacher avec soins ses secrets et ses émotions. Si elle s'impose dans le cadre du privé, forcer son affection sur quelqu'un n'est pas dans sa nature. Elle préférera vous renvoyer le sourire aux lèvres que pleurer. En clair, si elle estime que des paroles factices sont nécessaires à votre bonheur, elle vous fourvoiera sans sourciller. Malheureusement, ce petit côté hypocrite -qu'elle cultive avec brio- est parfois employé à des fins biens moins nobles. Il faut dire qu'Aiko est une Hishima et une vraie. La sournoiserie est pour elle comme une seconde peau.

Sauvage : Sous ses apparences de femme propre et rangée, il n'y a personne de moins sage qu'Aiko. Les ancêtres du clan Hishima sont soient fous, soient ironique, mais quand ils ont offert Aiko en mariage à Masaru, tous savaient déjà qu'il s'agirait du couple le plus explosif qu'ils puissent exister. Il faut dire qu'en plus d'être d'une mauvaise foi exacerbé, l'espionne n'a aucune limite. Elle défit tous les protocoles, ne se prive de rien et n'abdiquerait sous aucun prétexte : Ni les vilains mots, ni la violence ! Elle est plus agressive qu'une lionne affamée et aussi indomptable que le plus farouche des étalons. Elle est toujours dans l'excès et la surenchère, à tel point que des gifles seraient le bienvenu parfois, surtout quand on constate où sa folie et son obstination peuvent l'emmener. C'est toutefois cette personnalité purement féroce qui a attiré Tenno et son mari. Il faut dire qu'avec Aiko que ce soit en amitié ou sous la couette, on ne s'ennuie jamais.

Passionnée : Chez Aiko brûle un feu intarissable, qui la rend aussi loyale qu'agaçante. Si elle donne à son libre arbitre toutes les priorités, elle n'a aussi qu'un cœur et celui-ci ne faillit jamais dans ses allégeances. C'est sans doute pour ça qu'elle est rapidement devenue l'une des plus brillante espionne qu'il puisse exister, parce qu'elle est d'une fidélité rare et inébranlable. Aiko ne trahira jamais son royaume et ne déliera jamais sa langue même sous les plus atroces tortures. Elle est bien trop fière et attachée à son peuple pour ça. Oh, non, elle n'est pas une idéaliste, loin de là, mais une mère farouche et venimeuse qui défend avec bestialité sa progéniture comme ses proches ! Couplé à cela sa grande ruse et vous obtenez l'agent idéal.

Pouvoir
Aiko est capable de prendre l'apparence de n'importe qui, voir de n'importe quoi. C'est une métamorphe impressionnante, capable d'imiter jusqu'aux empreintes digitales d'un être vivant. Toutefois, elle ne peut absolument pas copier le pouvoir des autres, seulement copier leurs attributs physiques ! De même, elle dépense plus d'énergie à maintenir une forme qui s'éloigne de son physique de base que le contraire. Une transformation humaine, la ravissante succube peut la tenir plusieurs jours à la suite, mais une transformation animale ne dure qu'une heure au grand maximum et quelques minutes seulement si l'animal est d'une taille imposante ! De toute façon elle préfère largement ne pas tenter par peur de déformer une partie de son corps. Ainsi, Aiko ne dépasse jamais la taille du chien ou d'un tigre au garrot. Comme toute capacité démoniaque, celle-ci cesse bien-sûr de faire effet au contact de la magie spirituelle ou élémentaire. Néanmoins, tant que la personne qui l'accompagne n'utilise pas sa magie dans le but de la découvrir, elle ne risque rien. Elle peut imiter jusqu'à la voix et ses talents d'actrices lui servent à très bonne escient. Ce n'est pas le parfait soldat pour la guerre, mais c'est la meilleure agente d'infiltration qu'on puisse trouver.
Histoire
Bien qu‘il faisait froid dehors en cette nuit d‘hiver, dans la chambre l’air était brûlant. La climatisation tournait à plein régime et sous les vagues de papiers qui inondaient le sol, la carpette électrique était tout aussi chaude. Les cahiers s’entassaient pêle-mêle dans un angle de la pièce que semblait avoir frappé la tempête. Les jambes et les cheveux humides, Aiko finissait de relire pour la trentième fois la lettre qu’elle avait reçu au matin, signée  du nom d’Izora Hishima. Les gouttes d’eaux chutaient depuis quelques mèches encore trempées sur le feuillet qui s’était mis à légèrement gondoler. Elle n’arrêtait pas de mordiller ses lèvres sèches depuis plus de cinq minutes et si elle continuait, viendrait un moment où la peau se craquellerait à sang. Elle avait été surprise, pas par la lettre -car c’était depuis plusieurs années maintenant son destin-, mais bien par le prénom inscrit sur celle-ci.

-Masaru Hishima…-répéta-t-elle dans un souffle inaudible.

Ses pupilles se dilatèrent à nouveau. On eut dit qu’elle était tétanisée et pour cause, jamais, même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait osé s’imaginer marier à Masaru. Une douce sensation envahit son corps et fit trembler son cœur. Ça piquait dans sa tête et le long de sa colonne vertébrale, pareille à un millier de bulles d’eau légères, pétillantes et grouillantes sous sa peau. Elle était en train d’expérimenter un de ces frissons incontrôlables, de ceux qui vous font rougir de plaisir et que vous aimeriez à ressentir encore davantage. Un étage plus bas, le raclement d’une chaise se fit entendre. Aiko comprit ici que sa mère, inquiète, devait être en train de faire les cents pas dans le salon. Il faut dire qu’Elisa Kagura n’avait pas du croire, même pas une seule seconde, possible, que sa petite dernière soit déjà donnée en pâture à un membre du clan. Les doigts de l’adolescente froissèrent un peu la lettre. Elle savait parfaitement que celle-ci ne pourrait contester l’union, mais elle se demandait comment réagirait la belle veuve face à cette situation tant redoutée. D’une nature extrêmement protectrice, elle imaginait sans peine le trouble qui agitait sa douce génitrice alors qu’elle allait s’unir à un homme, toujours mineure et lycéenne de surcroît. Depuis le décès brusque de leur père, Mme Kagura -née Hishima- tachait de répondre à leurs besoins tant que mal, s’acharnant à les éduquer d’une main de fer dans un gant de soie. Elle les voulait autonomes, indépendantes et travailleuses. Un avenir que la quadragénaire devait s’imaginer compromis par l’action des anciens du clan qu’elle aurait souhaité plus tardive, pourtant c’était elle qui avait fait cette promesse ridicule. Lorsque Elisa Kagura s’était mariée à un humain, elle n’avait pas réfléchi aux conséquences. Elle était amoureuse et ne rêvait que d’une chose : Quitter Momo pour vivre sa propre vie, au Japon, à Tokyo, sur Terre. A l’époque, les anciens du clan -réticents- n’avaient pourtant pas forcé la séparation, étrangement respectueux de son choix. Ils avaient toutefois imposé leurs conditions : Elisa pourrait partir, mais elle devrait accepter que son premier enfant né succube soit rendu au clan par le mariage. Cet enfant, c’était elle, Aiko. Et, si autrefois Elisa avait signé le papier sans remord, désormais elle devait amèrement regretté d’avoir vendu sa chair et son sang en pâture à un étranger.  

« Mais….Si c’est Masaru…Peut-être ? »

Les yeux verts descendirent se poser sur une étagère boisée où trônait un cadre photo au bois épais. A l’intérieur, une image des Kaguras et de Masaru rappelait à sa propriétaire un moment passé de pur bonheur. C’était un des seuls souvenirs qu’Aiko possédait de son père, car celui-ci n’avait jamais aimé les photos. A côté de ce dernier, le fils Hishima -alors tout juste âgé de la quinzaine- abhorrait une expression douce que la jeune fille ne lui connaissait plus, sauf pour Akane. Avec un petit pincement au cœur, son humeur s’assombrit. Si le fait que Masaru soit son époux  aurait pu rassurer sa mère, c’était avant que l’étudiante ne se souvienne que tout le monde espérait en silence qu’il se propose à Akane. Entre les deux jeunes adultes, il existait une forte alchimie qu’elle ne pouvait nier et qu’elle avait toujours discrètement jalousée.

Dans le cœur tendre d’Aiko, Masaru était son plus grand fantasme et le garçon de ses rêves. Cependant, dans le sien, qu’était-elle ? Si ce n’est la petite sœur de son amie d’enfance… Elle savait que l’attirance n’était pas réciproque et avait toujours ravalé avec habilité cette affection dévorante qu’elle lui vouait. Elle ne pouvait s’éprendre du même homme qu’Akane. C’était malsain et puis, surtout, comment aurait-elle pu se mettre entre eux, quant à l’évidence, ceux-ci s’aimaient ? Il n’y avait bien que les principaux concernés pour être aveugle au sentiment de l’autre, du moins à l’époque de leur enfance. Le temps avait passé, Akane se concentrait désormais sur ses études plus que sur tout le reste et pour une raison qu’Aiko ne saisissait pas le dragueur que pouvait être leur ami Masaru n’avait pas tenté sa chance. Pourtant les regards et les petites attentions qu’il multipliait à l’égard de cette dernière ne manquaient pas. Akane continuait toutefois d’être froide, ce qui abandonnait Aiko au doute. Ne l’aimait-elle pas ?

Le destin était joueur. L’adolescente n’avait jamais eu aucune envie. Sa vie jusqu’à maintenant, encore courte, n’était qu’une suite de jour sans couleur. Un espace monotone que la mort de son père avait définitivement terni de gris. Elle n’avait pas de grand confident, aucun ami proche. En fait, Aiko survivait plus qu’elle ne vivait. Mais maintenant qu’elle avait cette chance…Elle n’arrivait pas à redevenir raisonnable. C’était peut-être un signe après tout. Et si elle aussi réussissait à séduire Masaru ? Quel mal y aurait-il à s’en priver ? Ce n’était pas sa faute si les anciens l’avait choisi.

-Désolée, Masaru….Ce ne sera pas Akane.

Elle allait tout faire pour que ce mariage soit un succès.
(La suite à découvrir directement en Flashback !)
Et toi derrière l'écran ?
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Dernière édition par Aiko K. Hishima le Dim 27 Nov - 11:24, édité 1 fois
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Pierre Ouimet

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MessageSujet: Re: (Aiko Hishima - Terminée - Manque Images )   (Aiko Hishima - Terminée - Manque Images ) EmptyJeu 24 Nov - 8:23

Aiko, Aiko, pourquoi est tu Aiko
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